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22 Mai ♥️♥️♥️

22 Mai, date que je n’oublierai jamais…

Date qui m’émeut toujours autant lorsque je repense à toi, Papa…

Date de ta naissance, de ton entrée dans ce monde…

Date que je souhaitais mettre en lumière aujourd’hui, ce Mercredi 22 Mai 2019 si ensoleillé dans le Sud de la France…

Ce soleil que tu aimais tant…

D’ailleurs, lorsque tu nous as quittés en Novembre 2017, il y avait un grand soleil radieux le jour de ton enterrement… Certes, il faisait très froid mais le soleil était là…

Tu avais alors rejoins l’immensité du ciel bleu azur un Mercredi matin tout comme celui d’aujourd’hui du mois de Mai de ton anniversaire…

Un mercredi alors si triste et douloureux…

Un mercredi qui me fit aussi prendre conscience à quel point je t’aimais…

Non pas que je l’ignorais…

Mais parfois on sous-estime ses sentiments…

On ne se rend pas compte des années qui passent, qui elles, justement, nous rapprocheront pourtant un peu plus et irrémédiablement de la Mort…

On ne fait pas suffisamment attention et un jour le moment fatidique que l’on repousse constamment de notre esprit finit par arriver…

Cela fait hélas parti de la vie, c’est vrai, mais c’est une chose que j’ai toujours autant de mal à accepter…

Je t’aimais tant mais je ne m’en rendais pas compte… Pas compte à quel point mon amour pour toi était immense…

Aujourd’hui, je sais…

Et il y a tant de choses que j’aurais voulu encore te dire où partager avec toi…
On ne dit jamais assez « Je t’aime » aux personnes que l’on aime…

Pas suffisamment en tous les cas et surtout de leurs vivants… Sans doute par pudeur…

Mais là encore, c’est une erreur de penser ainsi…

Aujourd’hui, je t’écris et je revois tant de souvenirs de toi…

De si beaux et merveilleux souvenirs…

Alors voici ces quelques mots que je voulais te dédier car je t’aime fort et que je ne peux t’oublier…

Ta Naissance :

Né un 22 Mai 1935 à Caudéran en Gironde à 02H00 du matin, ton signe astrologique est bien donc celui du Gémeaux.

En tant que signe d’air (tout comme moi), tu étais toujours relié à tout ce qui concernait l’esprit.

Mercure, ta planète te permettait de voler avec aisance d’une situation à l’autre, d’un lieu à l’autre avec une certaine facilité.

C’est pourquoi ton signe « Gémeaux » représenté par des jumeaux identiques est également symbolisé par cette icône ci-après qui ressemble fortement à s’y méprendre en regardant de loin à une paire d’ailes (en tous les cas cette icône là dont j’avoue particulièrement aimer parmi toutes celles qui existent).

 

Ainsi, tu avais donc la faculté de t’adapter à n’importe quelle situation et ce malgré certains obstacles rencontrés dans ta vie…

Tes ailes de Gémeaux te rendaient alors agile, libre et léger comme peut l’être un oiseau…

Tu dégageais une telle jeunesse éternelle, un charme adolescent, un sourire en coin, une lueur dans le regard pouvant séduire n’importe qui à ton passage…

Ta curiosité, ton intelligence, deux atouts majeurs de ta personnalité ne cessaient de t’enrichir et de te faire continuellement évoluer…

Tu avais toujours soif de connaissances, de nouvelles expériences car tu t’intéressais au monde qui t’entoure…

Ne surtout pas resté figé sur certains soucis du passé mais au contraire avancer ; tels étaient tes maîtres mots car c’était ainsi que tu fonctionnais…

Tu n’étais pas un homme à te laisser abattre…

Et si parfois la nostalgie te gagnait, c’était tout simplement parce que tu aimais ton passé d’expatriation à l’étranger…

Et puis c’est humain d’être nostalgique, cela fait parti de la vie…

Et toi, tu aimais tant la vie…

Voilà toutes les facettes qui caractérisaient tant l’homme que tu étais…

Sociable, généreux, aimant beaucoup l’humour, tu étais un véritable boute-en-train…

Ah ! Tu avais une si belle personnalité ! Et je ne dis pas cela parce que je suis ta fille…

Pour moi, tu étais un père exceptionnel, si sensible, si protecteur, si bon…

Il est certain qu’en écrivant tout cela sur toi et surtout en employant chaque verbe à l’imparfait, je ne peux m’empêcher d’avoir les larmes aux yeux mais c’est ainsi et je n’y peux rien…

Tu me manques tant Papa…

On dit que le temps guérit peu à peu les chagrins endurés mais me concernant je dirais que non…

Tu es parti il y a déjà 1 an et 6 mois mais je ne m’en remets toujours pas…

C’est pourquoi je tenais à t’écrire ce petit texte, rien que pour toi…

Mais avant d’en dire encore davantage sur tout ce que tu étais, je voudrais tout d’abord faire un petit retour en arrière…

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Un retour sur ton passé :

Dans les années 50, ta mère qui travaillait alors pour l’ambassade du Mexique avait à cette époque-là pas mal d’ambition pour toi lorsque tu étais encore étudiant dans ton école de commerce à Marseille.

Elle souhaitait fortement que tu deviennes Avocat où encore Journaliste. Mais ce qu’elle ignorait était que ta destinée ne se profilerait point dans ces secteurs du travail mais plutôt vers une autre filière…

Une filière qui te réserverait alors de bien belles surprises et opportunités…

Une filière, certes au départ des plus classique puisqu’il s’agissait du domaine de la Comptabilité mais qui deviendrait au fil du temps et très nettement beaucoup plus enrichissante et stimulante…

Toi-même, tu ne pouvais alors pas encore t’en douter mais la voie que tu étais en train d’emprunter te mènerait vers plusieurs et belles contrées…

Elle te conduirait à bord d’un Boeing pour aller vers ton premier pays africain : Madagascar à Antananarivo puis en direction de Namakia, un village situé en pleine brousse non loin de la mer mais pas non plus coupé du monde où encore totalement en vase clos comme on pourrait le penser… Loin de là…

Un endroit très plaisant, un véritable lieu de Cocagne comme tu aimais à le dire à quiconque lorsque tu racontais ta vie passée là-bas…

Un lieu inoubliable où se trouvait alors la société sucrière « Siramamy » (signifiant « Sucre » en langue Malgache) dans laquelle tu travaillais en tant que Chef-Comptable.

Une société qui marquerait alors à jamais ta carrière professionnelle et qui te propulserait quelques années après vers d’autres pays africains : Côté d’Ivoire à Abidjan, Guinée à Conakry, Tchad à N’Djamena puis à nouveau un retour à Madagascar à Antananarivo dans les années 92. Et bien-sûr toujours accompagné de ta petite famille (Maman, Olivier et moi) !

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Et donc, pour en revenir au souhait de ta Maman qui voulait que tu deviennes avocat où encore Journaliste lorsque tu étais jeune, on peut dire aujourd’hui avec du recul, que tu n’aurais vraiment rien eu à envier à ces deux métiers. Bien au contraire, puisque ton goût de l’aventure, de l’exploration, des voyages, de l’évasion furent pleinement exaucés et accomplis de bout en bout…

Et ce que tu ne savais pas non plus encore, c’est que tu aurais connu aussi le grand amour à Madagascar…

L’amour de ta vie, celle qui serait alors devenue ta femme ainsi que la mère de tes enfants…

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Oui, la terre si rouge de Madagascar que tu avais alors foulé du pied pour la toute première fois à l’âge de 33 ans un certain 26 Février 1968 t’avait donc réellement portée chance…

Elle t’avait permis de rencontrer Maman, de vous aimer puis de vous unir quelques années après en 1972 à Majunga à la même date que celle de ton arrivée à Madagascar…

Décidément, le 26 Février était à n’en pas douter une date porte-bonheur symbolique !

Quelle magnifique histoire d’amour ! N’est-ce pas ?

Maintenant, Papa, je te propose d’aller encore plus loin dans ton passé…

Parlons à présent un peu de ton enfance.

Une enfance que tu aimais bien nous raconter de temps en temps et que je souhaiterais retranscrire ici, dans cet article…

Nous étions alors dans les années 40 et tu séjournais dans la maison de tes grands-parents maternels située à Chalon-sur-Saône.

Un jour de sortie, dans les rues du centre-ville, ta grand-mère et toi étiez tombés sur un soldat Allemand. Et en te voyant, sans doute par rapport à ton adorable petite bouille de garçonnet âgé de 5 ans, le soldat avait souhaité t’offrir des bonbons. Ta Grand-mère accepta sans rechigner qu’il te les donna afin de ne pas le contrarier où tout simplement juste par crainte vu le contexte de l’époque… Quoi qu’il en soit, et comme n’importe quel enfant insouciant de ton âge, tu étais bien content de sucer tes bonbons…

Une autre fois encore, toujours lors d’une promenade dans les rues de Chalon-sur-Saône, c’était alors durant la période de la libération de la France, tu avais donc 9 ans ; vous étiez tombés à nouveau ta Grand-mère et toi sur un soldat mais cette fois-ci un G.I (soldat Américain) qui t’offrit spontanément des chewing-gum comme ils aimaient bien le faire à cette époque-là avec tous les Français…

Une confiserie que tu découvrais alors avec délectation et pour la toute première fois de ta vie d’enfant.
Une confiserie dont le goût mentholé/sucré ainsi que leur fameuse texture en gomme destinée à être mâchée et non avalée firent sans aucun doute ton émerveillement vu qu’il n’existait point ce genre de sucrerie en France.

Ce fut d’ailleurs à ce moment-là que tu appris que le Cheming-gum avait été créée en Amérique et que les G.I en avaient ramenés plein de là-bas dans leurs bardas lors de leur débarquement en Normandie, le 06 Juin 1944 pour libérer et sauver la France.

Et pour continuer la petite histoire du chewing-gum, l’un de ces G.I, Courtland E. Parfet décida un jour de revenir en France en 1952 pour y lancer la marque « Hollywood », un chewing-gum à la chlorophylle entièrement alors fabriqué en France et qui plus est dans la première usine qui venait de s’installer à Montreuil.

Et voilà comment le fameux Cheming-gum (bubble gum) finit par se populariser en France à la fin de la deuxième guerre mondiale et qu’il devint de plus en plus à la mode…

Intéressant, n’est-ce pas ? Je parle de ton enfance et j’en apprends des choses car j’ignorais que la marque « Hollywood » avait été entièrement fabriquée en France… Comme quoi !

Alors Papa, que dirais-tu de parler encore d’une autre anecdote ? Maintenant que je suis sur ma lancée, je ne vais pas m’arrêter en si bon chemin… C’est parti !

Ton Grand-père maternel que tu appréciais vraiment beaucoup, Pharmacien de profession tenait sa propre officine dans le centre-ville de Chalon-sur-Saône et lorsque tu étais en vacances scolaires et que tu venais séjourner chez tes grands-parents, tu ne manquer jamais de te retrouver avec lui dans sa pharmacie et d’observer avec grand intérêt tout ce qu’il accomplissait et surtout la manière dont il préparait les médicaments de sa clientèle. Tu trouvais cela particulièrement fascinant et passionnant qu’il puisse par de savants mélanges et dosages bien pesés, fabriquer sous tes yeux ébahis des médicaments qui par la suite, permettraient de soigner et de guérir les patients venant alors les récupérer.

D’ailleurs, à force de venir sur le lieu de travail de ton Grand-père, tu finissais même par apprécier l’odeur de tous ces médicaments…

Si certaines personnes n’aiment pas trop ce genre d’odeur, toi, par contre tu ne trouvais pas cela si désagréable que ça…

En fait, tu commençais à aimer tout ce qui était en relation avec la médecine et même que la vue du sang ne te faisait point peur…

Quelques années après, lorsque tu fis ton service militaire obligatoire et qu’on t’affecta au poste d’infirmier, tes supérieurs disaient de toi que tu savais mieux que personne administrer les piqûres après ton apprentissage en la matière bien-sûr. C’était devenu pour toi ta grande spécialité d’insérer une aiguille dans la veine d’un avant-bras où encore dans le muscle d’une fesse. Et donc, le maniement de la seringue n’avait plus aucun secret pour toi !

Tout cela pour dire, que le domaine de la médecine t’attirait mais pas non plus pour en faire ton métier.

Certes, pas médecin mais tu veillais toujours à avoir avec toi toutes sortes de médicaments à portée de main, au cas où, sait-on jamais ?

Et puis ne dit-on pas qu’il vaut mieux prévenir que guérir ? Et donc, toi, tu étais toujours bien muni, peut-être un peu trop d’ailleurs et c’est sans doute pour cela que Maman disait toujours de toi en te taquinant que tu étais une véritable armoire à pharmacie à toi tout seul ! Ce qui était la stricte vérité !

Un petit mal de tête ? Demande à Papa, c’est certain qu’il aura de l’aspirine sur lui…

Et il s’avérait que c’était toujours le cas et ce durant des années et des années…

Un petit bobo ? Des crampes d’estomac ? Un mal au cœur ? Papa aura très certainement de quoi te soigner, c’est sûr…

Quand j’y repense à tous ces instants-là, cela me fait sourire et me rappelle ô combien c’était le bon temps…

Ah ! Tu étais vraiment un sacré Papa !

Et maintenant mon Papounet, que dirais-tu si nous parlions un peu de tes goûts, de tes passions, de ce que tu aimais où encore détestais ? Tu es partant ? Alors on y va…

Épicurien dans l’âme, tu ne pouvais céder à la tentation de déguster une belle entrecôte de bœuf saignante accompagnée de ses pommes de terre sautées et bien-sûr le tout relevé d’un soupçon de moutarde et si possible à l’ancienne…

Tu étais un tantinet Carnivore et si on t’aurait demandé de ne plus manger de viande rouge, de devenir pour ainsi dire Végétarien, tu aurais alors été bien malheureux…

La nourriture était très importante pour toi voire essentielle pour pouvoir te sentir bien… Elle contribuait à ton bonheur…

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Voici d’ailleurs une petite liste de ce que tu aimais particulièrement savourer :

Les huîtres, les crevettes, le saumon, les moules-frites, le foie gras, l’andouillette, l’omelette aux champignons, le saucisson à l’ail, les spaghettis à la bolognaise, les lasagnes, la moussaka, le gratin dauphinois, le melon bien frais, les fraises à la chantilly, les truffes, le chocolat noir et bien d’autres mets encore…

Tu mangeais un peu de tout à part les abats ainsi que toutes les catégories de fromages que tu fuyais comme la peste !

Et rien que d’y penser, cela me fait à nouveau sourire…

C’est vrai que tu étais vraiment fâché avec le fromage.

Je me souviens encore des Saints Sylvestres passés ensemble en famille dans des restaurants dansants et précisément au fameux moment où le serveur ne tarderait plus à nous apporter nos assiettes remplies de différentes variétés de portions de fromages. Et c’est là que je faisais exprès de te taquiner en te disant :

« Papa ! Tu vas adorer la suite du menu de fête ! »

« Ah oui ? Qu’est-ce que c’est ? » me disais-tu alors intrigué sans savoir que je te faisais une blague.

« C’est du fromage Papounet ! Tu sais, ce que tu adores le plus ! »

Tu faisais alors directement la grimace en signe de dégoût puis pour te venger tu nous disais :

« Mais comment faites-vous pour manger ça ? L’odeur est franchement désagréable !  »

Et nous, on renchérissait de plus belle :

« Tu es sûr que tu ne veux vraiment pas y goûter ? »

« Ah non alors ! Jamais d’la vie ! »

« Tu ne sais pas ce que tu perds ! » lui disions-nous alors en riant.

« Je ne perds rien du tout ! Allez ! Terminez plutôt vos fromages qui sentent mauvais ! »

« Tu exagères Papa ! Ça ne sent pas si mauvais que ça…» disais-je alors en éclatant de rire.

« Oh que si ! D’ailleurs, ça commence déjà à m’écoeurer… Pour vous dire ! »

Décidément, le fromage et toi, c’était tout bonnement impossible !

Ah ! comme j’aimerais encore t’entendre me dire que tu détestais le fromage… Cela m’amusait tellement…

Certes, définitivement fâché avec le fromage mais friand des bonnes tartes aux pommes de Maman, de son onctueuse mousse au chocolat ainsi que de son fameux flan maison…

Sans oublier la « Forêt noire » que tu adorais déguster à chacun de tes anniversaires…

Et puis il y avait aussi les bonnes madeleines dorées à souhait, les croissants à la confiture d’abricots où encore les gaufres sucrés qui te procuraient toujours autant de plaisir en les accompagnant d’un grand verre de lait bien chaud…

C’est que tu étais très gourmand…

Mais qui a dit déjà que la gourmandise était un vilain défaut ? Pas toi, en tous les cas…

On sait maintenant tes goûts gustatifs mais qu’en est-il de tes passions ? Il serait temps d’en parler…

Lorsque tu étais enfant, tu aimais beaucoup aller au cinéma… C’était un moment agréable qui te plaisait énormément ! Pouvoir visionner des films sur grand écran était quelque-chose de magique pour toi. Si bien, que tu aurais bien voulu que le film ne s’arrêta jamais… En fait, étant déjà un enfant très sensible, tu souhaitais tout simplement que la magie du film continua encore et encore d’opérer tout en illuminant  indéfiniment l’intérieur de la vaste salle obscure…

Étrange où pas, j’étais exactement comme toi enfant et même durant la période de mon adolescence… Pour dire ! Tel père, telle fille !

Et donc, les années passants, tu aimais toujours autant aller au cinéma mais avec l’arrivée des K7 vidéos puis enfin des DVD, tu préférais largement regarder les films via ton téléviseur.

Tu appréciais beaucoup les films qui te faisaient rire tels que : 4 mariages et 1 enterrement, Pour le pire et le meilleur, Le dîner de cons, Les Visiteurs 1 et 2 mais certainement pas le 3 que tu trouvais raté, Le grand blond avec une chaussure noire, La chèvre, Rain Man, Mme Doubtfire où encore Forrest Gump avec sa fameuse réplique que tu aimais bien et moi aussi d’ailleurs :

« La vie, c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber »

L’humour était très important pour toi… D’ailleurs, sans cela, je pense que la vie t’aurait paru un peu fade…

Une fois, je me souviens t’avoir demandé quel genre de film tu aurais souhaité emmené avec toi si jamais tu devais te retrouver seul sur une île déserte. Et tu m’avais alors répondu sans la moindre hésitation :

« Un film rigolo, ça c’est certain vu la situation désespérée »

Et je t’avais ensuite demandé :

« Mais quel film exactement ? »

« Le dîner de cons ! Il est tellement marrant ce film ! Au moins, je me sentirais moins triste dans ta fameuse île déserte ! »

Et je ne pouvais qu’abonder dans ton sens…

Sacré Papa !

Non seulement tu aimais bien regarder des comédies mais tu aimais bien aussi pratiquer l’humour de temps à autres en nous lançant toutes sortes de blagues et vannes pour ton plus grand plaisir…

Il faut dire aussi que tu avais pas mal de K7 audio humoristiques de Raymond Devos, de Fernand Reynaud où encore de Guy Bedos que tu avais précieusement conservé depuis des années et des années et que tu aimais bien écouter durant tes moments de loisirs et ce, sans jamais en être lassé…

Voici d’ailleurs les sketchs que tu préférais sans doute le plus :

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Nous savons à présent que tu adorais l’humour mais pas que puisque tu aimais aussi écouter de la musique. Cela pouvait aller de la musique classique, aux chansons de Georges Moustaki que tu appréciais particulièrement où encore des musiques des îles que tu avais appris à aimer grâce à Maman et dont tu n’hésitais pas à venir te trémousser sur la piste de danse avec elle en les écoutant…

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Car oui, tu étais un excellent danseur qui savait autant bien danser le Tango, la Valse que le Rock, le Cha-cha où encore le Sega. Tous les pas de chacune de ces danses n’avaient aucun secret pour toi…

Ce fut d’ailleurs toi qui initia Maman (à Madagascar) en lui apprenant quelques bases essentielles de la danse qui lui permirent ainsi à son tour de devenir tout comme toi une excellente danseuse.

Non seulement tu avais trouvé la femme de ta vie mais tu avais à présent la meilleure partenaire de danse qui soit !

Et quel beau couple vous étiez lorsque vous vous mettiez à danser ensemble sur la piste de danse…

À chaque fois, vous faisiez sensation…

Ah ! C’était vraiment de merveilleux souvenirs que ces instants-là et ils resteront à jamais gravés dans ma mémoire…

Mon petit Papounet, voilà que nous arrivons déjà presque à la fin de mon article…

Et je sais que tu aimerais que cela continue encore et encore et moi aussi d’ailleurs…

Tu me manques tellement…

Tu étais vraiment un Papa en or… Un Papa si protecteur…

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Sache que tu resteras pour toujours dans mon cœur…

Sache que le temps écoulé ne pourra t’effacer,

Sache que tu me manqueras toujours éternellement…

Sache que tous ces instants passés avec toi resteront…

Oui, ils resteront infiniment gravés dans mon esprit…

Car je t’aime immensément Papa Chéri ♥️♥️♥️.

Ta fille, Cécile.

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À toi, l’amour de ma vie 💘

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Voici un texte que ma Maman a écrit pour rendre hommage à mon père Guy ❤ :

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À toi, l’amour de ma vie :

Mon coeur est parti avec toi et dans l’immensité du ciel étoilé, mes yeux se brouillent de larmes et l’émotion m’envahit…

J’ai perdu mon pilier d’amour, si grand, si fort, si protecteur et toujours là à mes côtés, un matin du 15 Novembre 2017.

On se prépare à toutes éventualités et malgré tous les remparts pour me protéger, ta présence me manque…

Le passé est devant moi et je m’accroche à tous nos souvenirs pour avancer…

Ils seront mes piliers…

Pour ton anniversaire, ce 22 Mai 2018, je te dédie ces très belles musiques et chansons qui retracent ton arrivée à Madagascar, à Namakia le 26 Février 1968 et le début de notre histoire d’amour en Juillet 1968 scellé par un mariage le 26 Février 1972 à Namakia, suivi de deux naissances : Cécile en 1977 à Namakia et Olivier en 1978 à Antananarivo.

Ce matin-là du 15 Novembre 2017 qui devait être une journée ordinaire et légère, tu nous as quittés…

Désarmée et désemparée, je me suis effondrée devant cette fatalité dont personne n’est jamais préparé…

Je m’allonge, je t’enlace et je m’endors contre toi…

Notre amour sera toujours éternel.

Ton Héliette qui t’aime… tout simplement.

Héliette Vidal

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GUY (33 ans) ET HÉLIETTE (16 ans) EN 1968 ❤

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LE BONHEUR EST LÀ ❤ :

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TOUT EST BEAU ❤ :

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LES JOIES ET LES SAVEURS ❤ :

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UNE TRÈS BELLE JOURNÉE ENSOLEILLÉE POUR TON ANNIVERSAIRE, CE 22 MAI 2018 ❤ :

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DÉTENTES ET SORTIES ❤ :

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JE TE GARDERAI TOUJOURS DANS MON COEUR ❤ ❤ :

Héliette Vidal

La flamme de la vie 🔥

bougie de la vie

Je m’appelle Cécile et je suis née dans la Grande île, plus précisément à :

NAMAKIA

Je suis du signe du verseau :

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Et une petite Dragon de Feu qui sait aussi cracher ses flammes si…

DRAGON FLAMME DE FEU

« Petit Dragon » me protège toujours…

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Je suis une grande mélomane et j’adore écouter toutes sortes de chansons. J’aime particulièrement les musiques de films qui m’inspirent énormément lorsque j’écris.

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Récemment, un certain 13 Février 2016, j’ai fêté mon anniversaire :

flamme tout feu

4 bougies pour 39 flammes qui dansent  !

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J’étais aux anges et heureuse de souffler mes 39 printemps !

39 Printemps ! et alors ? comme dirait la fameuse chanson de Shy’m ; je me sens en totale harmonie avec moi-même… 

Et c’est ce qui compte finalement, être bien dans sa tête et en général tout le reste suit…

J’ai toujours gardé mon âme d’enfant et ce n’est pas près de changer !

CECILOU 4 ANS

Cécile à l’âge de 5 ans

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J’aime toujours autant l’écriture et je dirais qu’elle ne fait que s’intensifier davantage avec les années qui passent…

LA DERNIERE DANSE DE LA LUNE

LEON

LE MANGUIER VOYAGEUR

GUERRE ETHNIQUE AU TCHAD

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Je suis beaucoup plus audacieuse et ça par contre c’est tout nouveau pour moi !

Je serai toujours une éternelle rêveuse et une idéalise souvent incomprise mais peu importe, je suivrai toujours ma route…

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Cécilou, La Suricate aimera toujours autant la vie !

LA SURICATE

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photo Cécile à l'âge de 16 ans à la plage non loin de Namakia

J’ai 16 ans

CECILOU BLONDE

J’ai 25 ans

CECILE LIA

J’ai 32 ans

CECILE LOUP

39 Printemps !

Pour ton anniversaire, Maman

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Je souhaitai faire ce petit article pour exprimer tout l’amour que je ressens pour toi Maman…
En ce jour d’anniversaire, ce 28 Novembre 2015 : ma chère petite Mamounette d’amour que j’aime tant, je voulais te dédier cette page pour te dire à quel point je t’aime et que je t’aimerai pour toujours et à jamais…

Heureux Anniversaire Maman !

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joyeux-anniversaire-amoureux

Une petite surprise juste pour toi, en toute sincérité…

Ma belle mamounette adorée

Te voici à Namakia (Madagascar) à l’âge de 16 ans

 

Un petit souvenir de ton enfance :

Un jour, ta Maîtresse (une Religieuse originaire de la Suisse qu’on appelait « Soeur Myriam ») vous aviez demandé à toi ( tu devait avoir 12/13 ans) et à tes camarades de classe de bien vouloir apprendre par coeur une chanson d’école dont vous veniez de recopier les paroles sur vos cahiers de chants.

De retour à la maison, tu avais donc appris les paroles de ladite chanson mais comme tu n’aimais pas trop sa mélodie, tu décidas d’en apprendre aussi une autre que tu aimais particulièrement et dont le titre était : « Les Marionnettes » du chanteur Christophe. Un chanteur populaire qui était très à la mode à cette époque là et qui avait pas mal de succès.

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Certes, la chanson ne faisait pas partie du registre musical de l’enseignement auquel les instituteurs avaient pour habitude de partager avec leurs élèves mais qu’importe, du moment qu’elle te plaisait…

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Le lendemain matin, durant le cours de chant, la Soeur Myriam désigna au hasard quelques élèves afin qu’il puisse chanter la fameuse chanson d’école puis vint enfin ton tour…

Tu te levas alors de ton banc puis tu commenças à entonner les premières notes de la mélodie que tu n’aimais pas beaucoup. Tu la chantas si parfaitement bien que la Soeur Myriam te félicita pour ta prestation. Avant de te rasseoir, tu te lanças et lui demanda timidement :

« Soeur Myriam, j’ai appris aussi une autre chanson que j’aimerais vous chanter s’il vous plaît… »

Quelque peu surprise, la Soeur Myriam te répondit :

« Une chanson ? Mais tu sais qu’elle ne comptera pas dans ta note car je vous avais demandé de n’apprendre que cette chanson que tu viens de nous chanter. Mais bon, je veux bien que tu nous la chantes. Quel est le titre de cette chanson Héliette ? »

« Le titre de la chanson est : « Les Marionnettes du chanteur Christophe… » lui dis-tu avec une petite voix mais néanmoins avec assurance et satisfaction car tu te réjouissais de pouvoir la chanter devant elle et tes camarades.

La Soeur Myriam ajouta :

« Mais ce n’est pas une chanson d’école ? Bon, je veux bien que tu nous la chantes mais comme je te l’ai dit tout à l’heure, elle ne sera pas notée. Vas-y Héliette, on t’écoute maintenant. »

Ce fut un très grand moment d’émotion pour toi lorsque tu commença à chanter les premières notes des « marionnettes ». Tu étais un peu intimidée mais fière de la chanter haut et fort et ce jusqu’au bout sans faire une seule fois trembler ta voix ni faire de fausses notes.

D’ailleurs, la Soeur Myriam ne put s’empêcher de te féliciter tellement tu l’avais merveilleusement bien chantée.
Quant à Tes camarades ils n’avaient eu de cesse de t’encenser car eux aussi avaient été bluffé par ta prestation musicale.
Il faut dire que tu avais une voix magnifique qui ne pouvait laisser quiconque indifférent lorsque tu te mettais à chanter toutes sortes de mélodies.

Et de toi même, tu étais consciente de ce fabuleux don que tu avais mais tu restais modeste car tu n’aimais pas trop te mettre au devant de la scène. Cependant, tu n’avais aucune gêne à chanter chez toi, dans ton cocon familial car tu t’y sentais pleinement heureuse et sereine.

Oui, chanter était ta passion et tes parents disaient de toi que tu étais le petit pinson de votre maison.
D’ailleurs, ne dit-on pas : « gai comme un pinson ». Un petit rappel s’impose pour ceux qui ne le savent pas : Les pinsons européens sont des oiseaux chanteurs et de ce fait les « Pinsonneux » les élèvent pour participer à des concours de chants.

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Je trouve que tes parents avaient bien eu raison de te comparer à ce joli petit oiseau chanteur.

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Déjà, lorsque tu étais enfant (dès l’âge de 8 ans) tu aimais beaucoup chanter et cette passion ne fit que s’accroître au fur et à mesure jusqu’à ce que tu atteignis ton adolescence où tu pris à ce moment là, un peu plus d’assurance par rapport à ta voix.

Tous les dimanches matins, toi et ta famille aviez pour habitude d’aller à la messe (à la petite église de Namakia à Madagascar) et tu ne manquais jamais de chanter avec allégresse chaque chant religieux en faisant ressortir du plus profond de ton être et de ton âme toute la puissance de ta voix d’alto.

Etant de religion catholique, tu aimais beaucoup te rendre dans cette église pour prier car tu avais la foi en notre Seigneur et que tu appréciais chanter tous ces chants liturgiques que tu trouvais beaux et mélodieux. De plus, ils te permettaient de travailler ta voix et de l’embellir un peu plus davantage.

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Découverte des musiques de chambre :

Dans ton école de Namakia (à Madagascar), lorsque toi et tes camarades de classe aviez cours de dessin, ta Maîtresse d’école, la Soeur Myriam aimait bien vous faire écouter ses vinyles de musique classique tel que le célèbre compositeur Wolfgang Amadeus Mozart ou encore Bethoveen, ect…

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Ce fut d’ailleurs à cette période là que tu commenças à apprécier les musiques de chambre.

En effet, lorsque tu écoutais ce genre musical, tu étais encore plus inspirée et ton imagination devenant fertile, tu prenais encore plus de plaisir à dessiner (toi, tes frères Christian et Francis ainsi que ta soeur Denise aimiez bien dessiner à vos heures perdues car c’était votre grande passion. Il arrivait également que Christian, Francis et toi réalisiez des bandes dessinées. Tout ceci pour dire à quel point vous étiez doués pour le dessin dans la famille et ce dès votre plus jeune âge.)

Un jour tu demandas à la Soeur Myriam si elle pouvait te prêter un de ses disques classiques, notamment le vinyle de Mozart (l’un de tes préférés) afin de pouvoir l’écouter bien tranquillement chez toi.

Elle en fut d’abord agréablement surprise puis te répondit que oui car elle était très fière de constater que tu aimais bien la musique classique.
Et inutile de dire que tu t’en réjouissais déjà à l’avance car tu pourrais le réécouter à loisir et autant de fois que tu le voudrais.

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Lorsque tu avais du temps libre devant toi, tu ne pouvais t’empêcher de chanter car cela te procurait de la joie. Ta famille (Tes parents : Irène et Théodore ainsi que tes frères et soeurs : Solange, Christian, Denise, Francis, Alain et Patricia) savait que tu avais beaucoup de talent en la matière et que tu rêvais d’être une chanteuse.

Ta meilleure amie (Renée) le savait aussi puisque vous aimiez bien chanter ensemble vos airs préférés.

Il pouvait t’arriver de chanter rien que pour ta Maman ou ton papa ou même devant tes soeurs aînées (Solange et Denise) rien que pour le plaisir ou tout simplement parce qu’ils te le demandaient car ils aimaient bien écouter ta jolie voix.

Dans ces moments là tu ouvrais ton coeur et ton âme car tu adorais leur faire plaisir. Oui, tu avais le don magique de vouloir toujours les rendre heureux, les rassembler.

Ta Maman était ta plus grande fan et elle te demandait souvent de lui chanter une ou plusieurs de ses chansons favorites des artistes suivants : Alain Barrière, Salvatore Adamo ou encore Charles Aznavour…

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Dans ces instants là, vous partagiez toutes les deux de grands moments de complicité et d’émotion car tout comme toi elle aimait la musique alors le simple fait de voir ses jolis yeux noirs pétiller de bonheur suffisait à te procurer une immense joie.

Ta soeur aînée Solange aimait bien également lorsque tu lui chantais les chansons de son artiste préférée : Dalida car elle trouvait que ta voix ressemblait beaucoup à celle de l’artiste.

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En effet, tu arrivais facilement à imiter la voix si particulière de Dalida en roulant les R, si bien que Solange en était totalement admirative. D’ailleurs, avant de chanter tous les airs préférés de son artiste, elle ne manquait jamais de te demander de chanter toujours en premier lieu sa chanson fétiche qui n’était autre que « Gondolier » interprétée par Dalida.

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Le plaisir de chanter en duo :

Souvent, il pouvait t’arriver de chanter avec ta meilleure amie « Renée » (ton amie d’enfance) car en matière de chant, vous étiez vraiment deux inséparables.
Vous chantiez à tue-tête et d’ailleurs vos parents ne manquaient jamais de vous dire que vous aviez vraiment de la voix, toutes les deux !

Vous aimiez chanter ensemble toutes sortes de chansons des artistes suivants : Dalida, Salvatore Adamo, Marie Laforêt ou encore Christophe…

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Chanter, faisait parti de l’un de vos passe-temps favoris et il faut dire qu’à ce sujet, vous vous accordiez fort bien…

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La passion pour le chant et la musique :

Le chant faisait donc parti intégrante de ta vie et tout comme le peuple Malgache qui aime chanter (à savoir que le Malgache a une âme de chanteur et de musicien) tu avais la passion de la musique dans le sang.

Chanter pour toi était comme une seconde nature…

Dans la maison de tes parents, vous aviez un transistor et tu aimais bien écouter les dernières nouveautés qui passaient sur les ondes. Dès lors où il y avait une chanson qui te plaisait, tu prenais tout de suite ton cahier pour y recopier les paroles de celle-çi afin que tu puisses l’apprendre par coeur et pouvoir par la suite la chanter.

Tu avais aussi un mange-disque qui te permettait d’écouter tes vinyles préférés. Pour dire, à quel point tu étais une grande mélomane et que pour toi c’était tout à fait impossible de vivre sans musique !

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Aujourd’hui, rien n’a changé puisque tu es toujours autant passionnée de musique et d’ailleurs nous avons les mêmes goûts musicaux toi et moi.

Cela peut aller de Kendji Girac, Lady Gaga, Enrique Iglesias, Florent Pagny à Shy’m, Johnny Hallyday ou encore aux musiques d’ambiance des îles, jusqu’aux musiques de films telles que : la BO de 1492 Christophe Colomb, Gladiator ou encore Out of Africa…La liste n’est pas exhaustive.

Voici ta Musique du moment que tu adores écouter actuellement :

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Tes registres sont très variés et on se ressemble beaucoup de ce côté là vu que nous sommes deux mélomanes…
Et non seulement tu es une passionnée de musique, mais tu adores aussi danser…

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La danse :

C’est d’ailleurs grâce à toi si j’ai appris un jour, à faire mes premiers pas de danse rien qu’en te regardant danser sur la piste…
Et depuis ce jour, je suis devenue (sans me vanter) une excellente danseuse tout comme toi…
Ce fut Papa qui t’appris à danser car il était lui-même un excellent danseur qui savait dès son plus jeune âge danser le rock, la valse, le paso doble, ect…

Et jusqu’à présent, Papa et toi, dansez superbement bien et je dois bien avouer que j’adore vous regarder lorsque vous êtes sur la piste de danse.
Concernant notre famille, je dois dire que la relève est bien assurée puisque la danse fait partie aussi de l’une de mes innombrables passions…

Du coup, on sait très bien danser (Toi, Papa et Olivier) ! si bien que les pistes de danses n’ont aucun secrets pour nous car nous avons le swing et le rythme dans la peau ! ce qui n’est pas donné à tout le monde !

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Pour terminer ma page en l’honneur de ton anniversaire :

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Je voulais te dire que tu incarnes pour moi : la loyauté, la sincérité, l’honnêteté, la tempérance, l’harmonie et la générosité sans oublier l’éclat de ta beauté dont j’ai hérité…

Et moi je suis fière d’être ta fille, d’être ta petite Cécile…

C’est pourquoi je souhaitai te dédier cette page en ton honneur car je trouve que l’on ne dit jamais assez « je t’aime » aux personnes que l’on aime…

Aujourd’hui comme hier et pour tous les autres jours à venir : « Je t’aime Maman ».

mamounette à moi

Je te souhaite un très bon anniversaire !

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Ta fille Cécile.

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Voici les paroles de la chanson : « Les Marionnettes » du Chanteur « Christophe » :

Refrain
Moi je construis des marionnettes
Avec de la ficelle et du papier
Elles sont jolies les mignonnettes
Je vais, je vais vous les présenter

L’une d’entre elles est la plus belle
Elle sait bien dire papa maman
Quand à son frère il peut prédire
Pour demain la pluie ou bien le beau temps

Refrain
Moi je construis des marionnettes
Avec de la ficelle et du papier
Elles sont jolies les mignonnettes
Je vais, je vais vous les présenter

Chez nous à chaque instant c’est jour de fête
Grâce au petit clown qui nous fait rire
Même Alexa cette pauvrette
Oublie, oublie, qu’elle a toujours pleuré

Refrain
Moi je construis des marionnettes
Avec de la ficelle et du papier
Elles sont jolies les mignonnettes
Elles vous diront, elles vous diront
Que je suis leur ami, que je suis leur ami
Que je suis leur ami, leur ami, leur ami