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Un jour extraordinaire ☄

Je me rappelle encore d’un souvenir très intense passé à Madagascar, dans la Capitale d’Antananarivo…

J’avais 16 ans et j’étais en classe de 3ième.

Nous étions dans les années 92 et notre professeure Principal de l’époque avait eu l’idée d’organiser une sortie d’élèves…

C’était un jour de semaine et plus précisément un matin aux alentours de 9H30.

Un matin tout à fait ordinaire mais qui allait se transformer en un jour extraordinaire…

D’ailleurs, je m’en souviens encore comme si c’était hier….

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Voici mon histoire :

Mes camarades et moi étions en train d’attendre l’arrivée du bus dans la vaste cour du Lycée Français de Tananarive (l’ancien lycée : Le Monastère).

Nous étions accompagnés de notre professeure principal de Français (Je me souviens encore de son nom de famille : elle s’appelait Mme Origlio) et nous discutions avec elle de la fameuse sortie culturelle pendant que tous les autres élèves du Lycée avaient déjà tous rejoint leurs classes d’études…

À cet instant là, le lycée semblait désertique et était devenu totalement silencieux mis à part nos petits bavardages entre nous et notre professeure.

Je me disais même qu’il était redevenu ce qu’il était autrefois : c’est à dire, un Monastère. Un monastère paisible où le silence était roi…

Oui, cela faisait du bien de ne plus entendre le brouhaha perpétuel de tous ces élèves.

On aurait même dit que le temps s’était figé comme s’il n’y avait plus personne sur cette Terre…

Je n’exagère pas le moins du monde en vous disant cela et pour tout vous dire, je savourais pleinement ce moment avec un immense plaisir.

Je regardais les alentours tout en discutant avec une amie de l’époque et nous nous disions, toutes les deux, que nous avions vraiment beaucoup de chance de pouvoir faire cette sortie (escapade) alors que tous les autres élèves du lycée étaient en train d’étudier à l’intérieur de pièces confinées, par cette si belle matinée chaude et ensoleillée…

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Au bout de quelques minutes, le silence de plomb fut interrompu par l’arrivée de notre bus qui venait tout juste de s’engager dans la cour du lycée.

Il roulait dans notre direction tout en faisant pas mal de bruits à cause des petits graviers que ses grandes roues projetaient de part et d’autres sur son passage.

Il était en train de contourner la vaste cour puis fini par effectuer une marche arrière afin de se placer directement devant la route principale d’où il venait d’arriver.

La manœuvre terminée, le chauffeur laissa tourner son moteur puis nous fit signe de nous rapprocher afin de monter à l’intérieur de son bus.

Ce que nous fîmes rapidement.

Une fois à l’intérieur, il vérifia que nous étions tous bien installés à l’arrière et nous demanda si nous voulions écouter un peu de musique.

Ayant eu l’approbation de notre Professeure, mes camarades et moi lui répondîmes tous en chœur que oui !

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Petite parenthèse avant de continuer mon histoire :

Madame Origlio avait la réputation d’être une excellente professeure qui savait hisser ses élèves vers le haut.

Elle était ouverte d’esprit mais très stricte lorsqu’elle enseignait son cour de français et ne supportait pas les bavardages intempestifs dans sa classe.

Mais dans certaines occasions comme celle d’aujourd’hui par exemple, elle savait être souple et très généreuse.

J’adorais étudier le français avec elle et je dois bien avouer que j’étais très douée en la matière (disons que ça aide beaucoup).

D’ailleurs, à maintes reprises, elle en faisait souvent la remarque lorsque j’obtenais d’excellentes notes, suite aux multiples rédactions qu’elle nous imposait et dont les différents sujets avaient souvent le don (fort heureusement) de toujours m’inspirer.

Et pour donner l’exemple aux autres élèves, elle ne pouvait s’empêcher de lire à haute voix le texte de ma copie (avant de me la rendre) ; ce qui avait tendance à m’intimider et à vouloir me cacher mille pieds sous terre.

Je me souviens aussi des fins de trimestre avec ses fameux bilans qu’elle n’oubliait jamais de nous exposer en commençant toujours et inévitablement son discours par le mien et ce bien évidement devant tous mes camarades de classe (chose qui me mettait indéniablement très mal à l’aise) :

« Cécile ! Vous êtes une fois de plus la première de votre classe dans ma matière ! Félicitations ! »

Dès lors où elle prononçait ces paroles, mon visage devenait soudainement rouge pivoine tellement j’étais embarrassée vis à vis de mes camarades (Il faut dire aussi qu’à cette époque là, je n’avais aucune confiance en moi).

La suite était alors prévisible…

Quelques-uns d’entre eux ne manquaient pas de lui rétorquer avec un certain agacement :

« Mais Madame, c’est pas notre faute si elle a toujours de l’inspiration pour vos rédactions… C’est dur de rédiger un texte comme ça, surtout si on n’est pas inspiré… »

Et Mme Origlio leur répondait invariablement ceci avec une pointe d’ironie :

« C’est parce que vous ne vous donnez pas la peine de vous atteler à la tâche. Il faut le vouloir aussi et non attendre que cela vous tombe du ciel »

Puis elle rajoutait :

« Vous savez, si Cécile réussit à faire de bonnes rédactions, ce n’est pas un simple hasard. Elle travaille tout simplement. Et à force, elle s’améliore davantage. Mais si vous ne travaillez pas bien votre texte, celui-ci sera alors forcément mauvais. C’est pourquoi, je ne cesse de vous répéter à chacun de mes cours que le travail compte énormément. Tout le monde peut avoir de l’imagination. Mais ce qui reste difficile, je vous l’accorde, c’est de pouvoir rédiger votre texte en le rendant compréhensible, agréable à lire et si possible sans fautes d’orthographe. Tout ceci n’est pas évident mais c’est possible à force de travail »

Et certains d’entre eux lui répliquaient alors aussitôt en ricanant :

« Mais Madame ! c’est impossible de faire tout ça ! et en plus sans fautes d’orthographe ? »

« Pourtant, je vous affirme que c’est tout à fait possible. Pourquoi croyez-vous que je sois ici alors ? Il faut travailler davantage et vous vous améliorerez tout comme le fait Cécile »

« Oh non ! Ne leur dîtes surtout pas ça ! » me disais-je alors dans mon for intérieur ; le nez dans la feuille de copie qu’elle venait tout juste de me rendre.

Et malheureusement, je savais qu’à ces moments-là, toute la classe et y compris mon amie de l’époque (qui n’en était pas vraiment une finalement) n’apprécieraient point tous ces compliments à mon égard et que forcément, j’attiserai leurs mépris.

C’est pourquoi, j’étais le plus souvent une personne solitaire lors des différents cours en classe ou encore pendant les récréations.

Je n’avais pour ainsi dire qu’une seule amie mais là encore je savais pertinemment que le mot « amie » n’était pas vraiment approprié, qu’il fallait le mettre entre parenthèse, puisqu’elle n’était pas une véritable amie comme j’aurais voulu qu’elle le soit.

En fait, ce que j’avais compris à cette époque là, c’est qu’il ne fallait surtout pas que je m’entiche d’avoir une amie sincère puisque c’était du domaine de l’impossible.

Par contre, ce que je savais au fond de moi, c’était que la solitude était la meilleure de mes amies et alliées puisque « ELLE » ne m’avait jamais laissée tomber, trahie ou contrariée.

D’ailleurs, jusqu’au jour d’aujourd’hui, j’aime toujours autant la solitude.

Alors vous l’aurez compris ; ce qui m’importait le plus lorsque j’étais étudiante en classe de 3ième, c’était d’être avant tout appréciée par ma professeure de Français : Mme Origlio et d’avoir la joie de suivre chacun de ses cours.

D’ailleurs, à la fin de mon année de 3ième, ce fut grâce à elle et à ses conseils avisés que j’avais décidé d’emprunter une autre voie que celle qui m’était destinée.

En effet, n’étant pas au niveau exigé par rapport aux autres matières que j’avais du mal à suivre ; Mme Origlio me conseilla la filière de la formation professionnelle de BEPacc (Brevet d’études professionnel d’Administration, Commercial et Comptable) qui au final contribua largement à mon épanouissement d’étudiante.

Je ne la remercierai jamais assez de m’avoir conseillée de suivre cette formation qui fut pour moi une belle réussite au cours de mes deux années de BEPacc passées au Lycée Français d’Antananarivo et dont j’obtenu en finalité haut la main mes deux diplômes avec beaucoup de fierté.

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Après cette longue parenthèse que je me devais de vous raconter, je peux enfin reprendre le cours de mon histoire.

Ce fut donc en musique, que le bus quitta enfin la cour du lycée et commença à emprunter sans plus tarder la fameuse route qui nous conduirait au centre-ville d’Antananarivo.

C’était parti pour l’aventure !

Mes camarades et moi, concrétisions enfin notre fameuse sortie culturelle !

Le bus nous emmenait donc en direction du Centre Culturel Albert Camus et moi, j’étais déjà en train de rêvasser en me disant que je découvrirai enfin et pour la toute première fois la fameuse salle de cinéma dans laquelle mes parents avaient déjà visionné pas mal de films durant les années 77 à 79…

Au fur et à mesure que nous nous rapprochions de notre destination ; j’étais toute excitée de joie et je savourais pleinement chaque instant de notre voyage en bus.

Quant à mes camarades, eux aussi étaient aux anges et très impatients d’arriver au fameux Centre Culturel.

Après une bonne quarantaine de minutes de trajet et quelques embouteillages que l’on ne pouvait hélas guère éviter, (La Capitale de Tananarive est réputée pour ses embouteillages) nous arrivâmes enfin à bon port.

Le bus se gara ensuite devant le grand bâtiment du centre Culturel.

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A peine avais-je franchi le seuil du vaste hall du Centre Culturel ; là où se situait le comptoir d’accueil ; que j’en fus totalement enchantée.

La décoration des lieux était vraiment magnifique et d’une très grande classe…

La suite des événements promettait de me réserver de bien belles surprises…

Et ce fut d’ailleurs le cas lorsque nous nous retrouvâmes au premier étage et que je poussais enfin une haute porte battante qui menait à l’immense salle de cinéma à l’intérieur de laquelle nous devions, mes camarades et moi visionner le fameux film tant attendu.

« Wahou ! » m’exclamais-je tout haut en regardant tout autour de moi.

C’était un peu comme si je me retrouvais dans une salle de cinéma en France mais avec ce petit quelque chose de différent, d’original que je n’avais encore jamais vu ailleurs et qui se trouvait juste là, devant mes yeux ébahis.

La salle était vraiment très spacieuse et avait des allures de Belle époque avec son sublime habillage (sol, plafond et murs) rouge bordeaux des plus profond et si raffiné.

Quant aux élégants fauteuils de velours de la même couleur dominante ; ils vous invitaient à vous y installer bien confortablement tant leurs revêtements semblaient à la fois doux et moelleux.

Tout n’était que somptuosité ici et la couleur rouge bordeaux y était pour beaucoup.

En effet, grâce à elle, la salle de cinéma semblait tout droit sortir d’un bel opéra et c’était sans doute pour cela qu’elle en devenait exceptionnelle, ne ressemblant alors à aucune autre.

Avec de tels atours, cette magnifique salle ne pouvait que vous convier à y passer un agréable moment lors de la diffusion d’un film sur son grand écran.

Et moi, j’étais déjà très sensible à toute cette ambiance feutrée et chaleureuse.

Sans oublier l’agréable fraîcheur de la climatisation qui contrastait avec la chaleur écrasante du dehors.

Oui, je me sentais vraiment bien ici…

J’étais littéralement tombée sous le charme de cette salle et j’avais comme l’impression de me retrouver dans un cocon de bien être m’enveloppant peu à peu de son infinie douceur.

Je me laissais alors totalement envahir et submerger par cette sensation unique d’apaisement tout en me disant que j’avais vraiment beaucoup de chance de me retrouver ici, et qui plus est dans mon beau pays natal de Madagascar.

Et rien que d’y penser, j’étais encore plus envoûtée et fascinée par ce lieu hors du temps qui me transportait dans un autre monde, un autre univers.

Un univers fantastique et magique…

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Après avoir longuement admiré la vaste salle de cinéma ; je m’asseyais enfin bien confortablement dans l’un de ces fauteuils de velours rouge.

En caressant le tissu de ma main ; je constatais qu’il était vraiment comme je me l’étais imaginé : très doux et très soyeux.

Comme j’étais bien dans ce fauteuil !

À présent, je n’avais qu’une seule hâte : regarder le fameux film qui n’avait eu que des éloges auprès des critiques de cinéma…

Et quel rêve absolu pour une cinéphile telle que moi de pouvoir enfin le regarder bien tranquillement dans une salle quasi déserte.

Déserte et qui plus est sans être ennuyée par une personne trop grande qui se trouverait comme par hasard juste devant moi ou qui aurait une de ces crinières volumineuses et sauvages nuisant fatalement et gravement à la vision de mon film.

Oh oui ! Quel plaisir immense que celui de ne point subir toutes ces incommodités et d’avoir l’impression unique d’être seule au monde comme si le film ne serait diffusé que pour moi et moi uniquement.

J’en ferais l’expérience et j’étais déjà aux anges…

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Mes camarades étaient eux aussi sous le charme de cette immense salle et étaient de plus en plus excités à l’idée qu’ils regarderaient dans une poignée de minutes le fameux film.

N’ayant à l’époque pas de meilleure amie attitrée ; je m’étais donc installée à l’écart des autres élèves afin d’éviter d’écouter leur discussions entre eux.

Ainsi, je profiterai pleinement de mon film.

Confortablement assise dans mon fauteuil, j’attendais donc que les lumières s’éteignent enfin mais il semblait que le projectionniste n’était pas encore prêt pour diffuser le film.

Sans doute un retard imprévu de sa part mais qui finirait bien par se régler.

Alors pour passer le temps, je décidais de me retourner pour voir quels élèves se trouvaient derrière moi.

À ma grande surprise, il n’y en avait aucun à part ma Prof de Français préférée qui était en train de me sourire et sur le point de me dire quelque chose vu qu’elle venait de se pencher vers mon fauteuil.

Je lui souris également et c’est alors qu’elle me dit avec enthousiasme :

« Vous ne serez pas déçue Cécile !Ce film vous plaira beaucoup ! Je l’ai déjà vu et connaissant votre sensibilité je suis certaine qu’il vous émouvra. Sans parler de sa bande originale qui est vraiment sublime. Je sais que vous aimez les musiques de films, n’est-ce pas ? »

« Oui, c’est vrai Madame » lui répondis-je un peu intimidée.

« Je pense que vous l’aimerez aussi» rajouta t-elle.

À peine eut-t-elle fini de prononcer ces quelques mots que soudainement toutes les lumières de la salle de cinéma s’éteignirent toutes en même temps.

Nous étions alors dans l’obscurité la plus totale et je ne voyais plus du tout le visage de Mme Origlio qui était en train de me chuchoter :

« Ah ! Ça y est ! Le film va enfin commencer ma chère Cécile ! Je vous souhaite un très bon film ! »

« Merci. À vous aussi Madame » lui chuchotais-je à mon tour.

On ne voyait strictement rien dans tout ce noir.

Je me retournais alors pour faire face à nouveau au grand écran et constatais qu’il venait tout juste de s’illuminer en faisant apparaître les premières images du générique du film.

Des images rouges et noirs représentant des scènes historiques d’Amérindiens ainsi que de Colons sous un fond musical qui me donna d’emblée des frissons.

Une musique à couper le souffle tant sa mélodie était des plus envoûtante et fascinante.

Une musique dont je tombais irrémédiablement amoureuse.

Et lorsque le titre du film apparu : « 1492, Christophe Colomb » ; suivi de ce texte :

« Il y 500 ans, L’Espagne était une Nation Livrée à la Peur Et à la Superstition Sous la Loi de la Couronne Et d’une Inquisition Qui persécutait Sans merci Tous ceux qui osaient rêver.

Un Seul Homme défia Ce pouvoir.

Conscient de son Destin, Il traversa La Mer des Ténèbres, En quête d’Honneurs et d’Or Pour La Plus Grande Gloire de Dieu »

Je savais d’instinct que j’aimerais d’ores et déjà ce film et même en ne l’ayant jamais vu.

C’était pour moi comme une certitude.

Et je ne m’étais point trompée puisqu’il devint par la suite mon film historique préféré.

Et l’ultime cerise sur le gâteau fut de pouvoir le regarder dans la même salle de cinéma que mes parents avaient autrefois fréquentée, des années auparavant.

Des années avant ma naissance.

Oui, cela ne faisait qu’intensifier le côté magique et émotionnel que j’éprouvais.

Une journée cinéma qui fut l’un des plus beaux moments de ma vie.

Un moment qui n’appartenait qu’à moi, comme si le temps s’était subitement arrêté et suspendu dans l’air…

Un grand moment d’émotion avec une musique de film inoubliable qui me donne encore la chair de poule à chaque fois que je l’écoute et une petite larme à l’œil de nostalgie…

Une musique qui restera éternellement dans mon cœur et qui me rappellera toujours cette séance de cinéma ainsi que mon île natale avec tous les merveilleux moments passés là-bas.

Un chef d’œuvre musical digne du très grand compositeur Vangelis et qui restera incontestablement ma bande originale number one parmi toutes celles que j’aime.

Un souvenir cinéma que je n’oublierai jamais et que je souhaitais tout simplement partager avec vous.

Interview d’Andy Ferguson

Récemment, ce samedi 06 février 2016, Andy Ferguson m’a nominée pour le Le Liebster Award .

C’est un passionné d’écritures, de rugby et de séries TV que j’ai pu rencontrer sur la vaste plateforme de WordPress grâce à mon amie La Belette .

En effet, étant intriguée par le titre de son blog « Southshield ; j’étais donc allée m’y balader un peu puis en le parcourant à la va-vite (je dois bien l’avouer), j’avais décidé ensuite de le follow juste pour ne pas le perdre de vu afin de pouvoir par la suite m’en faire une idée…

Aujourd’hui, je ne regrette vraiment pas mon choix étant donné que j’ai d’ores et déjà lu les 3 chapitres de son histoire et que j’ai tout de suite bien accroché.

Voici le premier chapitre de son histoire « Southshield » qui s’intitule :

Les secrets se cachent en forêt

Il y a beaucoup de rebondissements dans la ville de Southshield et les héros ont tous des particularités que j’apprécie bien. Ils nous embarquent dans leur univers et sont sonvent loufoques à souhait. Mais ce qu’il me tarde le plus de découvrir est bien l’intrigue qui reste primordiale au coeur de cette histoire.

Vous voulez en savoir plus ? Il vous suffit alors de cliquer sur son lien et vous n’aurez qu’une envie : vous y abonner pour lire son histoire pleine d’intrigues.

Mis à part son talent pour l’écriture, Andy est très sympathique et il vous répondra toujours avec beaucoup de franchise dans ses commentaires. J’ai remarqué également que c’est une personne qui ne manque pas d’humour et qui sait vous mettre à l’aise…

Merci encore à toi Andy de m’avoir nominée et c’est avec grand plaisir que je vais répondre à tes 11 questions.

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Voici le questionnaire d’Andy :

1. Mon fast and curious : chocolat/vanille ? matin/soir ? organisé/brouillon ? facebook/instagram ? fromage/dessert ? maison/jardin ? plage/montagne ? lire/écrire ? (Ahah, la dernière va vous énerver)

Je suis une grande gourmande mais avec modération. Je suis plutôt salé (j’adore les plats exotiques épicés) que sucré mais je dois bien avouer qu’avec le temps je me surprends à aimer certaines pâtisseries que je détestais lorsque j’étais plus jeune…

Mon petit péché mignon restera incontestablement le sorbet cassis mais la deuxième tentation culinaire est bien le chocolat. Pas le chocolat noir que je trouve bien trop amer mais le chocolat au lait. Ah ! la bonne tablette de chocolat au lait et noisettes entières !

CHOCO BON

J’adore le matin alors je me lève très tôt (à part le week-end). Ne dit-on pas que l’avenir appartient à ceux qui se lèvent aux aurores ?

Le soir est réservé pour mes écrits et ce depuis toujours. Je ne sais pas mais j’ai beaucoup plus d’inspiration la nuit que le jour.

Je suis très organisée dans la vie de tous les jours et assez stricte je dirais. C’est sans doute mon côté un peu pointilleux et sérieux.

En ce qui concerne l’écriture, c’est totalement différent : je ne me donne aucune règle. C’est tellement un moment privilégié pour moi que je me laisse aller ; disons que je lâche prise car pour moi cela reste de l’évasion, du rêve et alors oui je dirais que je suis un tantinet brouillonne à ce sujet…

Je suis à peu près sur tous les réseaux sociaux. Etant d’une nature très curieuse, je me suis inscrite à toutes ces plateformes juste comme ça, pour le plaisir…

Ah ! les plaisirs culinaires ! un vaste sujet. J’aime beaucoup le fromage (à peu près tous) et en particulier le camembert mais je ne suis pas contre un bon fromage de chèvre chaud sur une tartine de pain croutillante à souhait. Mon dessert number one préféré : des crêpes nappées de confiture de fraises, d’abricots, de cerises ou de Nutella.

J’aime autant les intérieurs que les extérieurs (en toutes saisons). En ce qui concerne l’écriture, je n’ai jamais encore essayé mais je pense que je n’aimerais pas écrire dehors (jardin, lieux publics, ect…) via mon ordinateur portable…

Indéniablement je préfère l’océan. Ah ! la mer…C’est tout un poème.

Tenez, voici justement un petit extrait tiré du poème de Blaise Cendrars (feuilles de route 1924) qui me convienne parfaitement :

Iles inoubliables et sans nom,

Je lance mes chaussures par-dessus bord car je voudrais bien aller jusqu’à vous.

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Pour répondre à la finalité de cette question, j’aime bien découvrir et lire les oeuvres de certains(es) auteurs sur wordpress et je dois dire qu’il y en a pas mal qui sont très intéressants. Mais évidemment ce que j’aime le plus c’est écrire dans mon petit coin et m’évader toute seule dans mon monde sans voir le temps passer…

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2. Parle-moi de tes goûts musicaux, qu’est-ce que tu aimes écouter et qu’est-ce que tu ne mettras jamais dans ta playlist ? Artistes, genre, chansons particulières, peu importe.

Je suis très sélective en ce qui concerne la musique. Je ne peux pas être fan à proprement dit d’un(e) seu(e) chanteur(se) et d’ailleurs je ne pourrais jamais assister à un concert d’une durée 2 heures à écouter le même registre du même artiste.

C’est pour cela que j’ai deux playlists bien distinctes : Voici un petit extrait de ma première playlist que j’écoute à mes heures perdues :

– « Un monde meilleur » de Keen’v

– « Me quemo » de Kendji Girac

– « Sur ma route » de Black M

– « Brisé » de Maître Gims

– « Wonderful life » de Zucchero

Et voici ma deuxième playlist (uniquement des musiques de films) que j’écoute avant de me plonger dans mes écrits : ça m’inspire énormément (mais je peux varier selon mon humeur par la première playlist !) :

– « Love me like you do » de Ellie Goulding (musique du film cinquante nuances de Grey)

– « Forrest Gump theme soundtrack » de Alan Silvestri

– « 1492, conquest of paradise theme soundtrack » de Vangelis

– « Now, we are free » de Hans Zimmer (Soundtrack theme du film Gladiator)

– « Hold me, thrill me, kiss me, kill me » de U2 (Soundtrack theme du film Batman forever)

Ce que je ne pourrais jamais rajouter à mes deux playlists, est bien la musique Metal. Mes petites oreilles de Suricate ont bien essayé d’en écouter un petit extrait un jour pour faire plaisir à un ami mais c’est tout simplement insupportable pour moi.

3. Ton film et ta série télévisée préférée ? Un film et une série que tu n’as pas aimé ? Du tout.

Mon film préféré est sans conteste « 1492, Christophe Colomb » de Ridley Scott. Je vous dirai un jour pourquoi j’apprécie tant ce film en écrivant un petit article à ce sujet.

Ma série préférée est « Les Tudors » de Michael Hirst avec le bel acteur principal Jonathan Rhys Meyers. Je ne m’en lasse jamais. Et puis j’aime beaucoup la main title theme soundtrack de ce feuilleton télévisé qui fait partie de ma deuxième playlist dont je vous parlais précédemment.

the tu dors

Le film que je n’aime pas du tout : « Very bad trip » de Todd Phillips. Ce film ne me fait pas rire. Sans doute, suis-je la seule mais je n’adhère pas du tout à leurs blagues.

Une série que je n’ai pas aimé : Toute la série des experts m’ennuie (Les experts Manhattan, les experts Miami, ect …) y compris le dernier en date « Les experts cyber ». Au début j’aimais bien regarder ce genre de séries mais à présent plus du tout. Je préfère nettement « The fall » et « Esprits criminels ».

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4. Ton passe-temps favori ? A part l’écriture. Et la lecture. Ne soufflez pas.

J’aime bien regarder des DVD en tout genre car je suis une cinéphile. J’adore particulièrement les films futuristes et fantastiques. Et si jamais je n’ai pas envie de regarder de DVD alors je joue à des jeux vidéos sur mon ordinateur portable (j’adore tous les Tomb raider sur PC et en particulier « Tomb raider anniversary ») ou encore j’écoute mes airs préférés.

lara l'aura tomb raider

5. Quatre mots qui te définissent. Verbes, adjectifs, noms communs, qualités et défauts acceptés.

– Je suis une personne très généreuse et en général je donne sans compter (ça dépend de certaines personnes)

– Je suis fidèle en amitié et je déteste au plus haut point l’hypocrisie et les couteaux dans le dos du jour au lendemain

– Je suis une personne loyale : on peut compter sur moi. Je ne suis pas une Suricate pour rien.

– Je suis trop spontanée et impulsive : ce qui peut me mettre en porte à faux dans certains cas et situations.

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6. Quelque chose que tu fais tous les jours. Ou presque tous les jours.

J’ai mon petit rituel journalier : regarder dès mon réveil mes notifications de messages sur mon smartphone et même si je n’y répondrai pas forcément…

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7. Un problème de société ou un thème qui te tient à coeur. Conteurs d’histoires, front of the line !

J’adore nos amis les cats mais je n’ai jamais milité pour la cause animale.

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Par contre, je ne supporte pas la maltraitance sur les animaux tels que les chats, les chiens, les grands félins, ect.. 

D’ailleurs, à ce sujet, lorsque j’habitais en Afrique en Guinée, il m’est arrivé un jour une drôle d’aventure que je vous invite à découvrir en cliquant sur ce lien :

Une bien jolie découverte

8. Un projet en cours ou un projet idéal.

Actuellement, j’écris une nouvelle en plusieurs parties dont le titre est : La dernière danse de la lune . C’est une histoire qui me tient particulièrement à coeur.

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9. Une superstition à laquelle tu crois… Ou tu te surprends de croire.

Je ne suis pas du genre à être superstitieuse…Etant née un certain 13 Février, J’aime particulièrement lorsque ma date d’anniversaire tombe un Vendredi. Mais bon, pour cette fois-çi, ce ne sera pas le cas, hi hi !

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10. De quel personnage tu te rapproches le plus ET le moins dans mon histoire ? Pour les réticents : quel personnage tu aimerais ET tu n’aimerais pas avoir comme ami ?

En ce qui concerne ton histoire « Southshield », je dirais que j’aime bien le personnage qu’incarne Olga Jorgen, la fille du commissaire Jorgen. Elle est intelligente et très futée. Elle s’est très bien adaptée à ses camarades qui sont très loufoques. D’ailleurs elle a réussi à se faire intégrer dans leur groupe « Les Hipsters ».

Au début (chapitres 1 et 2), je dois bien avouer que je n’aimais pas trop le personnage de Rebecca Roger. Trop déjantée à mon goût et surtout en ce qui concerne sa conception de l’amour : coucher avec un gars dès le premier soir sans vraiment le connaître puis le jeter ensuite dès le lendemain parce qu’elle s’ennuie de lui. Je trouve qu’elle ne se respecte pas elle-même. Mais bon ! tous les goûts sont dans la nature, comme on dit !

Par contre, ce que j’ai aimé chez elle dans le troisième chapitre, c’est qu’elle était en proie au doute et que ça l’énervait d’avoir enfin des atomes crochus avec un homme. Et je dois dire que de la voir dans cet état d’indécision me faisait vraiment plaisir. Ce sera un sacré dilemme pour elle en ce qui concerne sa relation avec cet homme. D’ailleurs, j’ai presque hâte qu’elle se stabilise enfin avec lui (il n’est pas comme les autres gars qu’elle a jusqu’à présent rencontré sur sa route). Mais ça, je le découvrirai plus tard dans tes prochains chapitres.

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11. Ton opinion sur l’histoire de Southshield. Bonne ou mauvaise, critiques acceptées. (J’assume son côté un peu lent et contemplatif, j’aime ça!)

En ce qui concerne ton histoire, j’ai tout de suite été scotchée.

D’une part, j’aime bien l’intrigue et d’autre part, je trouve que les personnages ont tous leur place dans ce scénario. Ils sont très différents les uns des autres et ils ont chacun leur particularité qui les rendent attachants ou intrigants.

En conclusion, je dirais que ton histoire est tout simplement captivante et que j’ai toujours envie de découvrir la suite.

Merci encore à toi Andy pour ce questionnaire que j’ai pris plaisir à répondre !

Amicalement,

Cécile, la Suricate

Pour ton anniversaire, Maman

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Je souhaitai faire ce petit article pour exprimer tout l’amour que je ressens pour toi Maman…
En ce jour d’anniversaire, ce 28 Novembre 2015 : ma chère petite Mamounette d’amour que j’aime tant, je voulais te dédier cette page pour te dire à quel point je t’aime et que je t’aimerai pour toujours et à jamais…

Heureux Anniversaire Maman !

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Une petite surprise juste pour toi, en toute sincérité…

Ma belle mamounette adorée

Te voici à Namakia (Madagascar) à l’âge de 16 ans

 

Un petit souvenir de ton enfance :

Un jour, ta Maîtresse (une Religieuse originaire de la Suisse qu’on appelait « Soeur Myriam ») vous aviez demandé à toi ( tu devait avoir 12/13 ans) et à tes camarades de classe de bien vouloir apprendre par coeur une chanson d’école dont vous veniez de recopier les paroles sur vos cahiers de chants.

De retour à la maison, tu avais donc appris les paroles de ladite chanson mais comme tu n’aimais pas trop sa mélodie, tu décidas d’en apprendre aussi une autre que tu aimais particulièrement et dont le titre était : « Les Marionnettes » du chanteur Christophe. Un chanteur populaire qui était très à la mode à cette époque là et qui avait pas mal de succès.

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Certes, la chanson ne faisait pas partie du registre musical de l’enseignement auquel les instituteurs avaient pour habitude de partager avec leurs élèves mais qu’importe, du moment qu’elle te plaisait…

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Le lendemain matin, durant le cours de chant, la Soeur Myriam désigna au hasard quelques élèves afin qu’il puisse chanter la fameuse chanson d’école puis vint enfin ton tour…

Tu te levas alors de ton banc puis tu commenças à entonner les premières notes de la mélodie que tu n’aimais pas beaucoup. Tu la chantas si parfaitement bien que la Soeur Myriam te félicita pour ta prestation. Avant de te rasseoir, tu te lanças et lui demanda timidement :

« Soeur Myriam, j’ai appris aussi une autre chanson que j’aimerais vous chanter s’il vous plaît… »

Quelque peu surprise, la Soeur Myriam te répondit :

« Une chanson ? Mais tu sais qu’elle ne comptera pas dans ta note car je vous avais demandé de n’apprendre que cette chanson que tu viens de nous chanter. Mais bon, je veux bien que tu nous la chantes. Quel est le titre de cette chanson Héliette ? »

« Le titre de la chanson est : « Les Marionnettes du chanteur Christophe… » lui dis-tu avec une petite voix mais néanmoins avec assurance et satisfaction car tu te réjouissais de pouvoir la chanter devant elle et tes camarades.

La Soeur Myriam ajouta :

« Mais ce n’est pas une chanson d’école ? Bon, je veux bien que tu nous la chantes mais comme je te l’ai dit tout à l’heure, elle ne sera pas notée. Vas-y Héliette, on t’écoute maintenant. »

Ce fut un très grand moment d’émotion pour toi lorsque tu commença à chanter les premières notes des « marionnettes ». Tu étais un peu intimidée mais fière de la chanter haut et fort et ce jusqu’au bout sans faire une seule fois trembler ta voix ni faire de fausses notes.

D’ailleurs, la Soeur Myriam ne put s’empêcher de te féliciter tellement tu l’avais merveilleusement bien chantée.
Quant à Tes camarades ils n’avaient eu de cesse de t’encenser car eux aussi avaient été bluffé par ta prestation musicale.
Il faut dire que tu avais une voix magnifique qui ne pouvait laisser quiconque indifférent lorsque tu te mettais à chanter toutes sortes de mélodies.

Et de toi même, tu étais consciente de ce fabuleux don que tu avais mais tu restais modeste car tu n’aimais pas trop te mettre au devant de la scène. Cependant, tu n’avais aucune gêne à chanter chez toi, dans ton cocon familial car tu t’y sentais pleinement heureuse et sereine.

Oui, chanter était ta passion et tes parents disaient de toi que tu étais le petit pinson de votre maison.
D’ailleurs, ne dit-on pas : « gai comme un pinson ». Un petit rappel s’impose pour ceux qui ne le savent pas : Les pinsons européens sont des oiseaux chanteurs et de ce fait les « Pinsonneux » les élèvent pour participer à des concours de chants.

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Je trouve que tes parents avaient bien eu raison de te comparer à ce joli petit oiseau chanteur.

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Déjà, lorsque tu étais enfant (dès l’âge de 8 ans) tu aimais beaucoup chanter et cette passion ne fit que s’accroître au fur et à mesure jusqu’à ce que tu atteignis ton adolescence où tu pris à ce moment là, un peu plus d’assurance par rapport à ta voix.

Tous les dimanches matins, toi et ta famille aviez pour habitude d’aller à la messe (à la petite église de Namakia à Madagascar) et tu ne manquais jamais de chanter avec allégresse chaque chant religieux en faisant ressortir du plus profond de ton être et de ton âme toute la puissance de ta voix d’alto.

Etant de religion catholique, tu aimais beaucoup te rendre dans cette église pour prier car tu avais la foi en notre Seigneur et que tu appréciais chanter tous ces chants liturgiques que tu trouvais beaux et mélodieux. De plus, ils te permettaient de travailler ta voix et de l’embellir un peu plus davantage.

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Découverte des musiques de chambre :

Dans ton école de Namakia (à Madagascar), lorsque toi et tes camarades de classe aviez cours de dessin, ta Maîtresse d’école, la Soeur Myriam aimait bien vous faire écouter ses vinyles de musique classique tel que le célèbre compositeur Wolfgang Amadeus Mozart ou encore Bethoveen, ect…

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Ce fut d’ailleurs à cette période là que tu commenças à apprécier les musiques de chambre.

En effet, lorsque tu écoutais ce genre musical, tu étais encore plus inspirée et ton imagination devenant fertile, tu prenais encore plus de plaisir à dessiner (toi, tes frères Christian et Francis ainsi que ta soeur Denise aimiez bien dessiner à vos heures perdues car c’était votre grande passion. Il arrivait également que Christian, Francis et toi réalisiez des bandes dessinées. Tout ceci pour dire à quel point vous étiez doués pour le dessin dans la famille et ce dès votre plus jeune âge.)

Un jour tu demandas à la Soeur Myriam si elle pouvait te prêter un de ses disques classiques, notamment le vinyle de Mozart (l’un de tes préférés) afin de pouvoir l’écouter bien tranquillement chez toi.

Elle en fut d’abord agréablement surprise puis te répondit que oui car elle était très fière de constater que tu aimais bien la musique classique.
Et inutile de dire que tu t’en réjouissais déjà à l’avance car tu pourrais le réécouter à loisir et autant de fois que tu le voudrais.

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Lorsque tu avais du temps libre devant toi, tu ne pouvais t’empêcher de chanter car cela te procurait de la joie. Ta famille (Tes parents : Irène et Théodore ainsi que tes frères et soeurs : Solange, Christian, Denise, Francis, Alain et Patricia) savait que tu avais beaucoup de talent en la matière et que tu rêvais d’être une chanteuse.

Ta meilleure amie (Renée) le savait aussi puisque vous aimiez bien chanter ensemble vos airs préférés.

Il pouvait t’arriver de chanter rien que pour ta Maman ou ton papa ou même devant tes soeurs aînées (Solange et Denise) rien que pour le plaisir ou tout simplement parce qu’ils te le demandaient car ils aimaient bien écouter ta jolie voix.

Dans ces moments là tu ouvrais ton coeur et ton âme car tu adorais leur faire plaisir. Oui, tu avais le don magique de vouloir toujours les rendre heureux, les rassembler.

Ta Maman était ta plus grande fan et elle te demandait souvent de lui chanter une ou plusieurs de ses chansons favorites des artistes suivants : Alain Barrière, Salvatore Adamo ou encore Charles Aznavour…

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Dans ces instants là, vous partagiez toutes les deux de grands moments de complicité et d’émotion car tout comme toi elle aimait la musique alors le simple fait de voir ses jolis yeux noirs pétiller de bonheur suffisait à te procurer une immense joie.

Ta soeur aînée Solange aimait bien également lorsque tu lui chantais les chansons de son artiste préférée : Dalida car elle trouvait que ta voix ressemblait beaucoup à celle de l’artiste.

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En effet, tu arrivais facilement à imiter la voix si particulière de Dalida en roulant les R, si bien que Solange en était totalement admirative. D’ailleurs, avant de chanter tous les airs préférés de son artiste, elle ne manquait jamais de te demander de chanter toujours en premier lieu sa chanson fétiche qui n’était autre que « Gondolier » interprétée par Dalida.

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Le plaisir de chanter en duo :

Souvent, il pouvait t’arriver de chanter avec ta meilleure amie « Renée » (ton amie d’enfance) car en matière de chant, vous étiez vraiment deux inséparables.
Vous chantiez à tue-tête et d’ailleurs vos parents ne manquaient jamais de vous dire que vous aviez vraiment de la voix, toutes les deux !

Vous aimiez chanter ensemble toutes sortes de chansons des artistes suivants : Dalida, Salvatore Adamo, Marie Laforêt ou encore Christophe…

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Chanter, faisait parti de l’un de vos passe-temps favoris et il faut dire qu’à ce sujet, vous vous accordiez fort bien…

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La passion pour le chant et la musique :

Le chant faisait donc parti intégrante de ta vie et tout comme le peuple Malgache qui aime chanter (à savoir que le Malgache a une âme de chanteur et de musicien) tu avais la passion de la musique dans le sang.

Chanter pour toi était comme une seconde nature…

Dans la maison de tes parents, vous aviez un transistor et tu aimais bien écouter les dernières nouveautés qui passaient sur les ondes. Dès lors où il y avait une chanson qui te plaisait, tu prenais tout de suite ton cahier pour y recopier les paroles de celle-çi afin que tu puisses l’apprendre par coeur et pouvoir par la suite la chanter.

Tu avais aussi un mange-disque qui te permettait d’écouter tes vinyles préférés. Pour dire, à quel point tu étais une grande mélomane et que pour toi c’était tout à fait impossible de vivre sans musique !

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Aujourd’hui, rien n’a changé puisque tu es toujours autant passionnée de musique et d’ailleurs nous avons les mêmes goûts musicaux toi et moi.

Cela peut aller de Kendji Girac, Lady Gaga, Enrique Iglesias, Florent Pagny à Shy’m, Johnny Hallyday ou encore aux musiques d’ambiance des îles, jusqu’aux musiques de films telles que : la BO de 1492 Christophe Colomb, Gladiator ou encore Out of Africa…La liste n’est pas exhaustive.

Voici ta Musique du moment que tu adores écouter actuellement :

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Tes registres sont très variés et on se ressemble beaucoup de ce côté là vu que nous sommes deux mélomanes…
Et non seulement tu es une passionnée de musique, mais tu adores aussi danser…

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La danse :

C’est d’ailleurs grâce à toi si j’ai appris un jour, à faire mes premiers pas de danse rien qu’en te regardant danser sur la piste…
Et depuis ce jour, je suis devenue (sans me vanter) une excellente danseuse tout comme toi…
Ce fut Papa qui t’appris à danser car il était lui-même un excellent danseur qui savait dès son plus jeune âge danser le rock, la valse, le paso doble, ect…

Et jusqu’à présent, Papa et toi, dansez superbement bien et je dois bien avouer que j’adore vous regarder lorsque vous êtes sur la piste de danse.
Concernant notre famille, je dois dire que la relève est bien assurée puisque la danse fait partie aussi de l’une de mes innombrables passions…

Du coup, on sait très bien danser (Toi, Papa et Olivier) ! si bien que les pistes de danses n’ont aucun secrets pour nous car nous avons le swing et le rythme dans la peau ! ce qui n’est pas donné à tout le monde !

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Pour terminer ma page en l’honneur de ton anniversaire :

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Je voulais te dire que tu incarnes pour moi : la loyauté, la sincérité, l’honnêteté, la tempérance, l’harmonie et la générosité sans oublier l’éclat de ta beauté dont j’ai hérité…

Et moi je suis fière d’être ta fille, d’être ta petite Cécile…

C’est pourquoi je souhaitai te dédier cette page en ton honneur car je trouve que l’on ne dit jamais assez « je t’aime » aux personnes que l’on aime…

Aujourd’hui comme hier et pour tous les autres jours à venir : « Je t’aime Maman ».

mamounette à moi

Je te souhaite un très bon anniversaire !

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Ta fille Cécile.

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Voici les paroles de la chanson : « Les Marionnettes » du Chanteur « Christophe » :

Refrain
Moi je construis des marionnettes
Avec de la ficelle et du papier
Elles sont jolies les mignonnettes
Je vais, je vais vous les présenter

L’une d’entre elles est la plus belle
Elle sait bien dire papa maman
Quand à son frère il peut prédire
Pour demain la pluie ou bien le beau temps

Refrain
Moi je construis des marionnettes
Avec de la ficelle et du papier
Elles sont jolies les mignonnettes
Je vais, je vais vous les présenter

Chez nous à chaque instant c’est jour de fête
Grâce au petit clown qui nous fait rire
Même Alexa cette pauvrette
Oublie, oublie, qu’elle a toujours pleuré

Refrain
Moi je construis des marionnettes
Avec de la ficelle et du papier
Elles sont jolies les mignonnettes
Elles vous diront, elles vous diront
Que je suis leur ami, que je suis leur ami
Que je suis leur ami, leur ami, leur ami